lundi 16 juin 2014

portugal 1er semaine

du 11 au 16 juin

Pour l’été 2014 c‘est le Portugal que nous avons choisi comme destination. Le départ a lieu le 9 juin après le gite familiale qui cette fois  était organisé en Touraine. La traversée de L’Espagne en passant par Valladolid nous a rappelés de bons souvenirs car c’est le lieu de naissance D’ETHAN. La construction d’un grand nombre de bâtiment est arrêtée et toutes les grues sont en pauses. Après le départ de Burgos ou il fait frais, pique-nique avec vue sur la sierra de cancellariat ou on aperçoit les sommets enneigés.
 Nous arrivons au Portugal après 1520KMS par la serra de Sao Mamede et nous reculons nos montres d’1 h. La halte du soir se fait à Märvao premier village blanc perché sur un pic rocheux d’où la vue est formidable. Petite balade histoire de se dégourdir les jambes. Au village il y a une invasion de perce-oreilles, on nous explique que cela arrive 2 fois par an et que cela dure 3 jours à l’arrivée des grosses chaleurs et à l’automne. Pendant notre promenade on s’aperçoit qu’ils pulvérisent les maisons avec un produit très odorant certainement pas clean. Oust on reviendra demain. Apéro dehors avec une vue à 360 degrés c’est magnifique.
 Après une bonne nuit et un petit dèj dehors, nous repartons finir la visite de Märvao. Le sol est jonché de cadavres de perce-oreilles qu’ils ramassent à la pelle dans des grands sacs poubelles, impressionnant. Du château nous avons une vue splendide. En route pour Castelo De vide mais comme il fait très chaud nous partons manger auprès du barrage de Povoa sous les eucalyptus, petite sieste obligatoire vu la chaleur. Vers 17 h (autant se mettre à l’heure locale dès le début) nous partons à Castelo de Vide. Très intéressante exposition sur la révolution des œillets du 24 avril 1974, une page d’histoire très importante pour les Portugais. Achat de fruits tomates, fraises, melons et abricots le tout pour 7€. Retour au camping-car, il fait 36° dehors comme dedans alors pause pour tout le monde. La fraicheur toute relative étant revenue on laisse Cali et nous allons manger des sardines grillées. Il y a plein de monde dans les rues et tous parle très fort, au resto on discute avec des portugais sur la soupe en l’honneur de st jacques, st pierre, st Antoine. Pour nous sardines grillées tomates bières et café pour 11€70 à 2. Retour au barrage pour dormir après avoir pris une bonne douche froide
.
Le lendemain balade autour du lac, nous allons à Estremoz visiter le château, à la mairie il y a de magnifiques azulejos. Il fait 40°. Direction Monsaraz par une route aride bordée d’amandiers, de chêne-liège et de vignes. De l’aire de service nous avons une vue incroyable sur la plaine d’Espagne et le Rio Guadiana qui sert de frontière, Nous attendons que le thermomètre baisse pour faire une balade dans le village. La nuit a été très chaude, le matin à 8h déjà 29°. Nous sommes dans le pays du vin mais les caves sont fermées le matin. Alors en route pour Evora. Arrivée au camping on se pose à l’ombre, lavage, piscine. Le frigo souffre lui aussi de la chaleur, petite sangria glacée pour passer la soirée. La vie est belle.
22° dès le matin, c’est à vélo que nous allons à Evora. Visite de la cathédrale et du cloitre, ascension de la tour vue magnifique sur Evora, dommage que l’université soit fermée ce devait être le plus beau, petit resto et retour au camping piscine et repos
.
Ce matin, Pierrette à envie de voir les tapis dArraiolos fait à la main avec le point en épi de blé. Puis pour aller à Palmela au-dessus de Setubal, nous prenons comme à notre habitude une petite route pour pouvoir pique-niquer. Impossible de s’arrêter tout est grillagé pour la protection des forêts (la région a payé un lourd tribut lors de grands incendies). Palmela ne nous plait pas, nous continuons donc par la route des crêtes de la sierra da Arrabida avec des vues formidables sur la mer. Arrêt dans un camping occupé par des caravanes à l’année, petite place pour nous face à la mer avec une superbe vue sur Setubal et la Péninsule de troia, mais pas d’accès à celle-ci.

Aucun commentaire: